PENSEES

Proverbe Chinois :

Le courage n'est pas l'absence de peur, mais l'action malgré la peur.

 

Nelson MANDELA :

On ne perd jamais. Soit on gagne, soit on apprend.

 

DALAÏ LAMA :

1. 
- Qu’est-ce qui vous surprend le plus dans l’humanité ? »
Il a répondu :
- Les hommes…
Parce qu’ils perdent la santé pour accumuler de l’argent…
Ensuite ils perdent cet argent pour retrouver la santé…
Et à penser anxieusement au futur, ils en oublient le présent…
De telle sorte qu’ils finissent par ne vivre ni le présent ni le futur.
Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir…
Et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu ! »

2.

Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être

D'aucun objet extérieur

Il ne dépend que de nous.

 

 CONFUCIUS :

-      Être humain, c'est aimer les hommes.  Être sage, c'est les connaître. 

-      La joie est en tout, il faut savoir l'extraire.

-     À  ta naissance tout le monde rit, et tu es le seul à pleurer. Conduis ta vie de façon à ce qu'à ta mort tout le monde pleure et que tu sois le seul à sourire.

 

LAO-TSEU :

-     Le sage vit dans la conscience des difficultés et n'en souffre pas.  

-    Gouverne le mieux qui gouverne le moins. 

-   Si vous croyez savoir, vous ne savez pas. 

 

 

SAGESSES BOUDDHISTES

Les grandes âmes ont la volonté; les faibles n'ont que des souhaits.

 

 

CANON DE MEDECINE INTERNE DE L'EMPEREUR JAUNE (500 à 300 AVT JC)

Si tu accueilles le monde entier dans ton coeur

Si tu as une bonne maitrise du YIN et du YANG

Que tu respires le QI (l'énergie) essentiel, que tu gardes ta tête saine et tranquille,

Tes muscles fonctionneront harmonieusement

Et tu vivras très longtemps sur terre

 

LAO-TSEU, Dao de Jing

Videz-vous de tout.

Laissez le mental s'immobiliser.

Alors, les mille choses émergent et disparaissent

d'elles-mêmes pendant que l'Être observe.

Elles évoluent et arrivent à maturité

pour ensuite retourner à la source.

Et revenir à la source, c'est retrouver

l'immobilité, qui est le propre de la nature...

 

Gustave THIBON, auteur de L'équilibre et l'harmonie, FAYARD éd.

La vigueur d'un arbre, tout comme notre sérénité,

prend naissances dans ses racines.

 

Victor HUGO écrivait aux pessimistes de son époque :

Vous voyez l'ombre, moi je contemple les astres.

Chacun a sa façon de regarder la nuit...

 

Henry POINCARRE

Pour avoir longtemps cherché sans trouver,

On finit par trouver sans chercher.

 

Proverbe chinois ; Livre de la sagesse chinoise (1876)

L'eau ne reste point sur les montagnes, ni la vengeance sur un grand cœur.

 

Elizabeth GILBERT, romancière, essayiste américaine

Vous êtes ce que vous pensez

Vos émotions sont esclaves de vos pensées

et vous êtes l'esclave de vos émotions.

 

Albert SCHWEITZER

La plus grande découverte de tous les temps est que les êtres humains peuvent modifier leur vie en modifiant leur attitude d'esprit.

 

GANDHI

Nous devons réaliser en nous les changements que nous recherchons pour le monde.

 

Louis JOUVET

L'humble connaissance de la pratique est le chemin le plus sûr pour aller à la vérité.

 

Poésie chinoise ancienne, extraite de "La Voie du Calme" Dr Liu Dong, édition Grancher

Pratiquer des mouvements n'est qu'une apparence, 
Il faut savoir se dégager de celle-ci,
Savoir s'extraire de l'impasse où elle nous entraîne,
Savoir entrer directement au plus profond de son être,
Savoir privilégier la lumière intérieure plutôt que l'apparence de la forme..."

 

PLATON 

Les mots du corps sont les maux de l'âme, ainsi on ne doit pas chercher à guérir le corps sans chercher à guérir l'âme.

 

Proverbe chinois

Si tu écoutes ton corps lorsqu'il chuchote, tu n'auras pas à l'entendre crier.

 

Histoire attribuée à un vieil Indien d'Amérique

Alors qu'il donne une leçon de vie à son petit fils, un grand-père explique :

J'ai deux loups qui se battent dans mon coeur. L'un est vindicatif, craintif, envieux, rancunier, plein de ressentiment, fourbe. L'autre est aimant, compatissant, généreux, loyal et serein.

-  Lequel des deux va gagner ? Interroge le petit garçon.

Celui que je nourrirai, répond le grand-père.

 

Un poème

Si la maladie avait un sens

 

Et si la maladie avait un sens,
Bien au-delà des apparences ?

 

Serait-ce d'apprécier
L'immense cadeau d'exister
Sur cette terre, où notre premier cri s'est exprimé

 

Serait-ce de regarder,
Même dans les endroits les plus cachés,
La présence de la beauté

 

Serait-ce d'arrêter
De se laisser écraser
Sous le poids des futilités

 

Serait-ce de révéler
La lumière derrière l'ombre projetée
Que les tensions contribuent à masquer

 

Serait-ce de lâcher
Les lourdes mémoires du passé
Qui, maintenant, ne sont plus d'actualité
Si la maladie avait un sens
Bien au-delà des apparences...
Serait-ce de se laisser respirer
Les senteurs embaumées
De la nature, dont notre planète nous a gratifiés

 

Serait-ce de ne jamais oublier
Qu'il y a, en nous, un espace de parfaite santé
Où nous pouvons nous ressourcer

 

Serait-ce de retrouver
L'élan vital qui nous a toujours animés
Au fond de notre être, comme un feu sacré

 

Serait-ce, enfin, d'en finir avec les préjugés
Les critiques et les rejets,
Que la dévalorisation n'a de cesse d'alimenter !

 

Car, au-delà des apparences,
Sur le cheminement de l'existence,
Si la maladie avait un sens,
Ce serait, en toute sérénité,
D'accepter, à la fois sa puissance, et sa fragilité,
De se réconcilier, et, avec la Vie, de se sentir unifié...
C'est-à-dire, tout simplement, de s'aimer et d'aimer !

 

                                                                 Nicole ATTALI,  15-06-2015